Conclusion :


    Sous l'effet de l'attraction terrestre, tout objet est attiré vers le centre de la terre, Des obstacles (le sol, un immeuble, une table) stop néanmoins cette chute, entraînant à chaque objet ou personne une sensation de poids, c'est-a-dire de pesanteur. Lorsque cette obstacle n'exerce aucune action sur lui, on dit que l'objet est en apesanteur. C'est le cas d'une chute libre sous la seul action du poids. C'est le cas aussi des spationautes qui, libérés de leur poids, semble flotter dans leurs vaisseau.
    
    Y accéder sur terre, la ou l'attraction y est omniprésente, est un rêve mais aussi une nécessité pour les chercheurs, pour mieux appréhendé ce monde inconnu qui est l'espace. L’expérimentation dans un avions spécialement conçu pour, est actuellement le moyen le moins coûteux pour pouvoir accéder à l'impesanteur. De plus, il permet la possibilité de tester le matériel avant son embarquement, ainsi qu'à l’entraînement des future astronautes et à la préparation de leurs délicates missions. Par exemple l'Airbus A300 ZERO-G, fait office de véritable laboratoire volant dans se domaine. Recréé la sensation de micro-pesanteur ou micro-gravité dans un avion, nécessite l’utilisation d'une technique de vol relativement peux commune. L'appareil doit effectué une trajectoire parabolique à une certaine altitude (de 6300 m à 8000 m d'altitude durant la phase de vol). La situation d'apesanteur crée par la phase de chute libre de l'appareil (environ 20 à 25 secondes). Ainsi grâce a cette technique de vol appelé « vol parabolique » il est possible d’accéder aux conditions d'impesanteur dans un avion et surtout sur terre.

    Les vols paraboliques offrent ainsi un tremplin aux techniques spatiales, pour mieux préparé les prochains vols spatiaux mais aussi dans l'attente d'une ère spatial accessible à un plus grand nombre, un moyen unique d’expérimenter soit même les effets de l'impesanteur. Cependant, la faible duré d'impesanteur, ainsi que la qualité  relativement faible de celle-ci (0,01 g, d'où l'utilisation du terme « micro-pesanteur »), fond que les vols paraboliques ne remplaceront jamais les expériences à bord d'un engin en orbite. Celui-ci permettant d'étudier les phénomènes qui ne seraient affecté par l'apesanteur qu'au bout d'un certain temps ni de phénomènes physiques agissant sur de plus long terme.